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Florilège d'extraits 69-84

... Ses chansons sortent des sentiers battus et ne sauraient être qualifiées de “commerciales”. Son succès pourtant est réel. Tristesse ? Ironie plutôt, avec une poésie qui ne craint pas les images fortes. Ses chansons sont des cris tendres, mais des cris tout de même.
Anouk Ortlieb - Courrier neuchâtelois - 15.2.1984

...très évocatrices des multiples facettes de notre monde tel qu’il se porte assez mal, ses chansons évoquent pêle-mêle la violence terroriste, la tristesse des banlieues et cette inaltérable quête du bonheur que mêne envers et contre tout cet animal étrange appelé homme...
Claude Depoisier - Radio TV-Je vois tout - septembre 1981

Il est trapu, possède une assise d’homme de la terre... Dans la vie comme dans ses chansons, sa personnalité vous marque, il est impossible de rester indifférent. Chaque mot, chaque geste ont leur place bien définie... Ce n’est que peu à peu, poussé par l’envie de s’exprimer sur ses propres idées que ses premiers textes virent le jour. Il y fait preuve de tendresse puis de virulence face aux faits de tous les jours. Sans jamais heurter mais en ne mâchant pas ses mots, avec toutefois un brin de trivialité, telle qu’elle nous plaît chez Brassens: l’alliage est parfait.
Jacques Bernasconi - Courrier de Genève - 28.9.1977

Vous chantez si bien “Les beaux dimanches” ou l’attachante “Petite mère du marché de bourg” parce que vous mettez en scène des personnages vrais !
Robert Burnier - Feuille d’Avis de Lausanne - 11.12. 1974

Des orchestrations de professionnels et un accompagnement très sophistiqué. Le mélange force l’écoute.
Jacques Donzel - La Tribune de Lausanne - 11.12.1974

Il joue de la guitare, chante avec talent la vie, l’amour, la guerre. Tendresse, chaleur des mots piqués d’humour: On n’est pas là pour pleurer...
Gérald Prévost - Le Dauphiné libéré - 21.8.1973

Bernard Dimey et Claude Ogiz dans un spectacle d’une rare densité.
E. Fz - Feullle d’Avis de Vevey - mars 1971

Sa chanson “Les beaux dimanches” est un petit chef d’oeuvre d’humour, d’ironie et de férocité: elle met en scène toute une famille en pique nique...
Ph. Genaert - La libre Belgique - juillet 1970

Claude Ogiz est un nouveau venu à la chanson, et ce qui frappe chez lui, étant donné cette circonstance, est l’aisance et le métier qu’il possède déjà...
Antoine Berthoud. - Feuille d’Avis de Neuchâtel - 18.1.1970

Un mot, peut-être, pour remercier ce troubadour qu’est Claude Ogiz que l’on a applaudi en fin de programme dans des oeuvres dont on reparlera demain. Des oeuvres que le nouveau venu de la chanson a interprétées au rythme de la liberté.
Patrick Ferla - Feuille d’Avis d’Yverdon - 21.7.1969

On sent la marque d’un style où le coup de poing n’a rien à faire, d’une intelligence qui sollicite autant qu’elle propose.
Antoine Berthoud - L’impartial - 8.12.1970

Claude Ogiz, lui, n’a pas encore le poli du métier mais il est naturellement spontané, généreux et cela l’auditeur le ressent. Aux trucs de la routine il a préféré les maladresses du talent. Tribune de Lausanne - 18.01.1970